Pour quelle raison pourriez-vous me consulter ?
"Je pratique une ostéopathie fondée sur les connaissances scientifiques actuelles et sur le raisonnement clinique. Lorsque certaines techniques utilisées en ostéopathie ne sont pas encore suffisamment étudiées, cela ne signifie pas qu’elles soient inefficaces, mais simplement que les preuves disponibles sont limitées ou incomplètes à ce jour.
Dans ce contexte, je privilégie une approche pragmatique, cohérente et adaptée à chaque patient, en utilisant uniquement des techniques sûres, pertinentes et proportionnées. Je m’engage à rester honnête sur ce que l’ostéopathie peut ou ne peut pas apporter, sans exagérer les effets possibles ni faire de promesses irréalistes.
Je ne peux vous garantir qu’une chose : faire de mon mieux pour vous accompagner sérieusement, sans vous vendre du rêve ni des promesses infondées."
Jean-Mathieu Hardy
Troubles musculo-squelettiques
Autant de symptomes a déchiffrer pour comprendre et prendre en charge votre problématique
Lombalgie aiguë, subaiguë ou chronique non spécifique
La lombalgie non spécifique correspond à une douleur située dans le bas du dos, sans cause organique identifiable à l’imagerie ou aux examens médicaux. Elle peut être aiguë (moins de 6 semaines), subaiguë (6 à 12 semaines) ou chronique (au-delà de 3 mois). Ce type de lombalgie est très fréquent et représente la majorité des douleurs lombaires rencontrées en pratique clinique.
Une prise en charge en ostéopathie s’inscrit dans une approche globale et fonctionnelle, fondée sur les recommandations actuelles et l’Evidence-Based Practice. L’objectif est d’améliorer la mobilité du rachis, de réduire les tensions musculaires et d’optimiser les équilibres biomécaniques pouvant entretenir la douleur. L’ostéopathie intervient de manière complémentaire, après élimination de toute cause spécifique ou pathologie nécessitant un suivi médical. La prise en charge repose sur un examen clinique rigoureux, des techniques adaptées et des conseils individualisés.
Cervicalgie mécanique
La cervicalgie mécanique désigne une douleur située au niveau du cou, le plus souvent liée au fonctionnement des muscles, des articulations et des tissus environnants, sans cause grave identifiée. Elle peut apparaître brutalement (faux mouvement, réveil avec un torticolis) ou s’installer progressivement, notamment en lien avec le travail sur écran, les postures prolongées, le stress ou le manque de mobilité. Les douleurs peuvent s’accompagner de raideurs, d’une gêne dans les mouvements de la tête, voire de maux de tête ou de tensions dans les épaules.
Dans le cadre d’une cervicalgie mécanique non spécifique, l’ostéopathie peut être proposée pour améliorer la mobilité cervicale et diminuer les tensions musculaires. La prise en charge repose sur un examen clinique précis afin d’adapter les techniques à chaque patient. Le travail ostéopathique s’intègre dans une approche globale, pouvant inclure des conseils de posture, d’ergonomie et de mouvement. L’objectif est d’aider à retrouver un meilleur confort au quotidien, sans se substituer à un suivi médical si celui-ci est nécessaire.
Dorsalgie mécanique
La dorsalgie mécanique correspond à une douleur localisée au milieu du dos, entre les omoplates. Elle est dite « mécanique » lorsqu’elle est liée au fonctionnement des muscles, des articulations et des tissus environnants, sans atteinte grave ou maladie sous-jacente identifiée. Ce type de douleur est souvent favorisé par les postures prolongées, le travail sur écran, le manque de mobilité, le stress ou certaines activités répétitives. Elle peut se manifester par une sensation de raideur, de blocage, ou de douleurs diffuses parfois augmentées par certains mouvements ou positions.
L’ostéopathie peut s’inscrire dans la prise en charge des dorsalgies mécaniques en cherchant à améliorer la mobilité du rachis dorsal et à diminuer les tensions musculaires associées. Après un examen clinique adapté, l’ostéopathe utilise des techniques ciblées et individualisées, en tenant compte du mode de vie et des contraintes quotidiennes du patient. Cette approche vise à soulager l’inconfort et à favoriser une meilleure mobilité, tout en pouvant être complétée par des conseils posturaux et de mouvement pour limiter les récidives.
Raideurs articulaires mécaniques
Les raideurs articulaires mécaniques correspondent à une diminution de la mobilité d’une ou plusieurs articulations, sans lésion grave ni maladie inflammatoire identifiée. Elles peuvent concerner le dos, le cou, les épaules, les hanches ou les genoux, et s’installent souvent progressivement. Ces raideurs sont fréquemment liées à un manque de mouvement, à des postures prolongées, à des gestes répétitifs, à une activité physique insuffisante ou, au contraire, à un surmenage. Elles peuvent s’accompagner d’une sensation de gêne, de tiraillement ou d’inconfort lors des mouvements du quotidien.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée pour améliorer la mobilité articulaire et réduire les tensions associées. Après un examen clinique précis, l’ostéopathe adapte ses techniques en fonction de la localisation de la raideur, de l’âge et des habitudes de vie du patient. La prise en charge s’inscrit dans une approche globale, pouvant inclure des conseils de mouvement et d’activité physique, afin d’aider le patient à retrouver plus de souplesse et de confort au quotidien, sans promettre de résultats irréalistes.
Douleurs posturales (Travail, Sédentarité)
Les douleurs posturales sont fréquentes chez les personnes travaillant en position assise prolongée ou exposées à des gestes répétitifs. Elles touchent souvent le dos, le cou, les épaules ou le bas du dos, et peuvent se manifester par des douleurs diffuses, des raideurs ou une sensation de fatigue corporelle. La sédentarité, le travail sur écran, une ergonomie inadaptée ou un manque de pauses favorisent ces troubles, en sollicitant excessivement certains muscles et articulations au détriment du mouvement.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut s’inscrire comme un accompagnement pour soulager les tensions liées aux contraintes posturales. L’ostéopathe réalise un examen clinique afin d’identifier les zones de sursollicitation ou de manque de mobilité, puis adapte sa prise en charge à chaque patient. Le travail vise à améliorer la mobilité articulaire, diminuer les tensions musculaires et favoriser une meilleure adaptation du corps aux postures du quotidien. Des conseils simples d’ergonomie, de mouvement et d’activité physique peuvent compléter la séance pour limiter l’apparition ou la réapparition des douleurs.
Douleurs musculaires et contractures
Les douleurs musculaires et les contractures correspondent à une tension excessive ou prolongée d’un muscle, pouvant entraîner une sensation de douleur, de raideur ou de fatigue musculaire. Elles surviennent fréquemment après un effort inhabituel, un geste répétitif, une posture prolongée, le stress ou un manque de récupération. Ces douleurs peuvent toucher différentes zones du corps, comme le dos, le cou, les épaules ou les membres, et gêner les mouvements du quotidien.
L’ostéopathie peut être proposée pour accompagner la prise en charge de ces douleurs musculaires lorsqu’aucune cause médicale particulière n’est identifiée. Le travail ostéopathique vise à relâcher les tensions musculaires, à améliorer la mobilité des structures voisines et à favoriser un meilleur équilibre global du corps. Chaque prise en charge est individualisée, en fonction des symptômes, du mode de vie et des activités du patient. Elle peut être complétée par des conseils sur les postures, l’activité physique, la récupération ou la gestion des contraintes quotidiennes, avec pour objectif de diminuer l’inconfort et de prévenir les récidives.
Douleurs myofasciales
Les douleurs myofasciales correspondent à des douleurs provenant des muscles et des tissus qui les entourent, appelés fascias. Elles se manifestent souvent par des zones sensibles, des tensions diffuses ou des points douloureux pouvant irradier à distance. Ces douleurs peuvent apparaître à la suite d’un surmenage musculaire, de gestes répétitifs, de postures prolongées, du stress ou d’un manque de récupération. Elles touchent fréquemment le cou, le dos, les épaules ou les hanches, et peuvent perturber les mouvements du quotidien.
Dans le cadre de douleurs myofasciales sans cause médicale identifiée, l’ostéopathie peut être envisagée pour accompagner la prise en charge. Le travail ostéopathique vise à diminuer les tensions musculaires, améliorer la souplesse des tissus et favoriser une meilleure mobilité globale. Chaque séance est adaptée au patient, en tenant compte de ses symptômes, de son activité et de son mode de vie. Cette approche peut être complétée par des conseils de mouvement, d’étirements ou de récupération, afin d’aider à réduire l’inconfort et limiter les récidives.
Douleurs articulaires mécaniques (épaule, hanche,genou, cheville) hors pathologie structurelle avérée
Les douleurs articulaires mécaniques concernent des articulations comme l’épaule, la hanche, le genou ou la cheville, en l’absence de lésion structurelle avérée ou de maladie inflammatoire identifiée. Elles sont souvent liées à un déséquilibre mécanique, un surmenage, un manque de mobilité, une reprise d’activité physique, ou des gestes répétés au travail ou dans le sport. La douleur apparaît généralement lors du mouvement ou de l’effort et peut s’accompagner d’une raideur, d’une gêne fonctionnelle ou d’une limitation des activités quotidiennes.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être proposée pour accompagner la prise en charge de ces douleurs mécaniques. Après un examen clinique précis, l’ostéopathe adapte ses techniques afin d’améliorer la mobilité articulaire, de réduire les tensions musculaires associées et de favoriser un meilleur équilibre global. La prise en charge est individualisée et peut être complétée par des conseils de mouvement, d’activité physique adaptée ou d’ergonomie. L’objectif est d’aider le patient à retrouver du confort et de la mobilité, sans se substituer à un suivi médical lorsque celui-ci est nécessaire.
Céphalées, troubles oro-faciaux et dysfonctions cervico-maxillo-faciales
Les céphalées et les troubles oro-faciaux regroupent des douleurs localisées au niveau de la tête, du visage, de la mâchoire ou du cou. Les céphalées de tension sont les plus fréquentes et se manifestent souvent par une sensation de casque ou de pression, parfois associée à des tensions cervicales et des épaules. Les troubles oro-faciaux peuvent inclure des douleurs de la mâchoire, des craquements ou une gêne lors de l’ouverture de la bouche, notamment en lien avec l’articulation temporo-mandibulaire. Le stress, le bruxisme, les postures prolongées ou les tensions musculaires peuvent favoriser ces symptômes.
Céphalé de tension
Les céphalées de tension sont les maux de tête les plus fréquents. Elles se caractérisent par une douleur diffuse, souvent décrite comme une sensation de pression ou de serrement autour de la tête, parfois associée à des tensions au niveau du cou, des épaules ou du haut du dos. Ces céphalées peuvent être occasionnelles ou récurrentes et sont souvent favorisées par le stress, la fatigue, le travail sur écran, les postures prolongées ou le manque de récupération. Contrairement à la migraine, elles ne s’accompagnent généralement pas de nausées ni de troubles visuels.
Dans le cadre de céphalées de tension, l’ostéopathie peut être proposée en complément d’un suivi médical lorsque celui-ci est nécessaire. L’ostéopathe réalise un examen clinique afin d’écarter toute cause nécessitant une prise en charge spécifique, puis adapte son approche en fonction des tensions identifiées. Le travail vise à diminuer les tensions musculaires, améliorer la mobilité cervicale et favoriser une meilleure adaptation du corps aux contraintes du quotidien. Des conseils simples sur l’ergonomie, la gestion du stress et l’activité physique peuvent également accompagner la prise en charge.
Céphalés cervicogéniques
Les céphalées cervicogéniques sont des maux de tête dont l’origine est liée au cou et aux structures cervicales. La douleur débute souvent dans la région cervicale ou à la base du crâne, puis peut irradier vers l’arrière de la tête, les tempes ou le front. Elle est généralement déclenchée ou aggravée par certains mouvements du cou, des postures prolongées ou une raideur cervicale. Ces céphalées peuvent s’accompagner d’une limitation de mobilité du cou et de tensions musculaires, sans signes neurologiques associés.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée après avis médical si nécessaire et en l’absence de pathologie sous-jacente. La prise en charge ostéopathique repose sur un examen clinique précis afin d’identifier les restrictions de mobilité et les tensions mécaniques cervicales. Le travail vise à améliorer la mobilité du rachis cervical, à diminuer les tensions musculaires et à favoriser un meilleur fonctionnement global. Cette approche peut être complétée par des conseils de posture, d’ergonomie et de mouvement pour limiter la réapparition des symptômes et améliorer le confort au quotidien.
Douleurs des articulations temporo-mandibulaires d'origine fonctionnelle
Les douleurs des articulations temporo-mandibulaires (ATM) d’origine fonctionnelle concernent la mâchoire et les structures qui permettent l’ouverture et la fermeture de la bouche, sans lésion articulaire grave identifiée. Elles peuvent se manifester par des douleurs au niveau de la mâchoire, des oreilles ou des tempes, des craquements, une gêne à l’ouverture buccale ou une fatigue lors de la mastication. Ces troubles sont souvent favorisés par le stress, le bruxisme (serrement ou grincement des dents), les troubles posturaux ou certaines habitudes comme la mastication unilatérale.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée en complément d’un suivi médical ou dentaire si nécessaire. Après un examen clinique précis, l’ostéopathe adapte sa prise en charge afin de diminuer les tensions musculaires, améliorer la mobilité de l’articulation temporo-mandibulaire et prendre en compte les éventuelles tensions cervicales associées. Des conseils sur les habitudes quotidiennes, la posture ou la gestion des contraintes peuvent également être proposés, dans l’objectif d’améliorer le confort et la fonction sans promettre de résultats irréalistes.
Raideurs cervicales associées aux maux de tête
Les raideurs cervicales associées aux maux de tête correspondent à une limitation de mobilité du cou accompagnée de céphalées. Cette association est fréquente, notamment lorsque les muscles et les articulations cervicales sont soumis à des contraintes prolongées. Le travail sur écran, les postures statiques, le stress, le manque de mouvement ou certains gestes répétitifs peuvent favoriser l’apparition de tensions cervicales pouvant entretenir ou aggraver les maux de tête. La douleur peut être ressentie à la base du crâne, dans la nuque, et parfois irradier vers l’arrière de la tête ou les tempes.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée après exclusion de toute cause médicale nécessitant un suivi spécifique. La prise en charge repose sur un examen clinique afin d’identifier les zones de raideur et les déséquilibres mécaniques du rachis cervical. Le travail ostéopathique vise à améliorer la mobilité du cou, à diminuer les tensions musculaires et à favoriser une meilleure adaptation aux contraintes du quotidien. Des conseils de posture, d’ergonomie et de mouvement peuvent compléter la prise en charge afin de limiter la réapparition des symptômes.
Raideurs liées a des hypertonies cervico-maxillo-faciales
Les raideurs liées aux hypertonies cervico-maxillo-faciales correspondent à des tensions musculaires excessives et persistantes au niveau du cou, de la mâchoire et du visage. Elles peuvent provoquer une sensation de raideur cervicale, des douleurs au niveau de la nuque, des mâchoires ou des tempes, ainsi que des maux de tête ou une fatigue musculaire. Ces tensions sont fréquemment associées au stress, au bruxisme (serrement ou grincement des dents), aux troubles de l’articulation temporo-mandibulaire, aux postures prolongées ou à certaines habitudes de vie.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée pour accompagner la prise en charge, après exclusion de toute pathologie nécessitant un suivi médical ou dentaire spécifique. L’ostéopathe réalise un examen clinique afin d’identifier les zones de sur-tension et les restrictions de mobilité associées. Le travail vise à diminuer les hypertonies musculaires, améliorer la mobilité cervicale et maxillo-faciale, et favoriser un meilleur équilibre fonctionnel. Des conseils sur la posture, la gestion du stress et les habitudes quotidiennes peuvent compléter la prise en charge pour améliorer durablement le confort.
Troubles fonctionnels digestifs
Les troubles fonctionnels digestifs regroupent des symptômes digestifs fréquents pour lesquels aucune cause organique ou maladie n’est mise en évidence lors des examens médicaux. Ils peuvent se traduire par des ballonnements, des douleurs abdominales, une sensation de lourdeur, des troubles du transit comme la constipation ou la diarrhée, ou une alternance des deux. Ces troubles sont souvent influencés par le stress, l’alimentation, le rythme de vie, le manque d’activité physique ou des périodes de fatigue. Ils peuvent avoir un impact important sur le confort et la qualité de vie au quotidien.
Douleurs digestives fonctionnelles
Les douleurs digestives fonctionnelles correspondent à des douleurs abdominales récurrentes pour lesquelles aucun trouble organique ou maladie n’est mis en évidence lors des examens médicaux. Elles peuvent se manifester par des crampes, des sensations de tiraillement, de brûlure ou d’inconfort diffus, parfois associées à des ballonnements ou à des troubles du transit. Le stress, les habitudes alimentaires, le rythme de vie, la fatigue ou certaines périodes émotionnellement chargées peuvent influencer l’intensité et la fréquence de ces douleurs.
Ballonnement fonctionnels
Les ballonnements fonctionnels correspondent à une sensation de gonflement abdominal, de tension ou d’inconfort digestif, sans anomalie organique identifiée lors des examens médicaux. Ils peuvent apparaître après les repas ou au cours de la journée et s’accompagner de gaz, de pesanteur abdominale ou de douleurs diffuses. Les ballonnements sont souvent influencés par l’alimentation, le stress, le rythme de vie, le manque d’activité physique ou certains troubles du transit. Bien qu’ils soient fréquents et bénins, ils peuvent altérer le confort et la qualité de vie.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée comme un accompagnement, en complément d’un suivi médical ou nutritionnel si nécessaire. La prise en charge ostéopathique repose sur un examen clinique afin d’évaluer les tensions abdominales, diaphragmatiques ou posturales pouvant participer à l’inconfort. Le travail vise à améliorer la mobilité des structures impliquées et à favoriser un meilleur équilibre global.
Constipation fonctionnelle
La constipation fonctionnelle correspond à un ralentissement du transit intestinal sans cause organique ou maladie identifiée. Elle se manifeste par des selles peu fréquentes, dures ou difficiles à évacuer, parfois associées à des ballonnements, des douleurs abdominales ou une sensation d’évacuation incomplète. Ce trouble peut être influencé par l’alimentation, l’hydratation, le niveau d’activité physique, le stress ou certaines habitudes de vie. Bien que fréquente, la constipation fonctionnelle peut avoir un impact significatif sur le confort et le bien-être au quotidien.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée en complément d’un suivi médical, notamment lorsque les causes organiques ont été écartées. La prise en charge ostéopathique repose sur un examen clinique afin d’évaluer les tensions et les restrictions de mobilité pouvant influencer le fonctionnement digestif. Le travail vise à favoriser une meilleure mobilité des structures abdominales et une adaptation globale du corps. Cette approche s’inscrit dans une prise en charge globale et prudente, sans se substituer aux conseils médicaux, nutritionnels ou hygiéno-diététiques.
Syndrome de l'intestin irritable
Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est un trouble fonctionnel digestif fréquent, caractérisé par des douleurs abdominales récurrentes associées à des troubles du transit (diarrhée, constipation ou alternance des deux), des ballonnements et une sensation d’inconfort digestif. Les examens médicaux ne mettent pas en évidence de maladie organique, mais les symptômes peuvent être chroniques et avoir un impact important sur la qualité de vie. Le stress, l’alimentation, les variations hormonales et le rythme de vie jouent souvent un rôle dans l’intensité et la fréquence des symptômes.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée comme un accompagnement, en complément du suivi médical et des conseils nutritionnels. La prise en charge ostéopathique repose sur un examen clinique global afin d’évaluer les tensions abdominales, diaphragmatiques ou posturales pouvant influencer le confort digestif.
Problématiques alimentaires
Diplômé de nutrition et de micro-nutrition, et passionné d'alimentation intelligente, je suis à même d'analyser avec vous ce qui pourrait être corrigé dans votre alimentation pour améliorer votre santé.
Rééquilibrage alimentaire
Le rééquilibrage alimentaire correspond à une démarche visant à adapter l’alimentation aux besoins du corps, sans notion de régime strict ou de restriction excessive. Il s’inscrit dans une recherche d’équilibre, en tenant compte du rythme de vie, des habitudes alimentaires, de la digestion et du bien-être global. Un rééquilibrage alimentaire peut être envisagé en cas de troubles digestifs fonctionnels, de fatigue, de variations de poids, de sensation de lourdeur après les repas ou simplement dans une démarche de prévention et de confort au quotidien.
Intelligence nutritionnelle / Hormones et Biochronologie
L’intelligence nutritionnelle fait référence à la capacité d’adapter son alimentation aux besoins réels du corps, en tenant compte des signaux internes, du rythme biologique et du mode de vie. Les hormones et la biochronologie jouent un rôle important dans cette régulation : digestion, faim, satiété, énergie ou sommeil sont influencés par des rythmes hormonaux et circadiens. Des repas pris à des horaires irréguliers, le stress, le manque de sommeil ou une alimentation inadaptée peuvent perturber ces équilibres et entraîner fatigue, inconfort digestif ou variations d’énergie au cours de la journée.
Grossesse et post partum
La grossesse et la période du post-partum entraînent de nombreuses adaptations du corps, tant sur le plan mécanique que postural. Les changements hormonaux, la prise de poids, la modification du centre de gravité et les contraintes liées au quotidien peuvent favoriser l’apparition de douleurs lombaires, pelviennes, cervicales ou de sensations de raideur. Après l’accouchement, le corps continue de s’adapter, avec parfois des douleurs persistantes, une fatigue importante ou un inconfort lié aux nouvelles postures, notamment lors du portage ou de l’allaitement.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée comme un accompagnement, à tout moment de la grossesse ou après l’accouchement, en l’absence de contre-indication médicale. La prise en charge est adaptée, douce et individualisée, en tenant compte des besoins spécifiques de chaque période. Le travail vise à améliorer la mobilité, diminuer les tensions et favoriser un meilleur confort au quotidien. L’ostéopathie s’inscrit ici comme une approche complémentaire, sans se substituer au suivi médical ou à la rééducation périnéale.
Lombalgie de la grossesse
La lombalgie de la grossesse correspond à des douleurs situées dans le bas du dos apparaissant au cours de la grossesse. Elle est très fréquente et s’explique par les modifications naturelles du corps : prise de poids, changement du centre de gravité, augmentation de la cambrure lombaire et assouplissement des ligaments sous l’effet des hormones. Ces adaptations peuvent entraîner des tensions musculaires, une gêne à la marche, aux changements de position ou lors des activités du quotidien.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée comme un accompagnement, en complément du suivi médical de la grossesse. La prise en charge est adaptée et respectueuse des spécificités de la femme enceinte, après vérification de l’absence de contre-indication. Le travail ostéopathique vise à améliorer la mobilité du bassin et du rachis, à diminuer les tensions musculaires et à favoriser un meilleur confort global. Des conseils de posture, de mouvement et d’adaptation des gestes du quotidien peuvent également être proposés pour limiter l’inconfort au fil de la grossesse.
Douleurs pelviennes mécaniques
Les douleurs pelviennes mécaniques correspondent à des douleurs localisées au niveau du bassin, du bas du dos ou des hanches, liées au fonctionnement des structures musculo-squelettiques, sans pathologie organique identifiée. Elles peuvent apparaître à la suite de contraintes posturales, d’efforts répétés, de traumatismes mineurs, ou être favorisées par des périodes particulières comme la grossesse ou le post-partum. Ces douleurs peuvent se manifester lors de la marche, des changements de position, de la station debout prolongée ou de certaines activités du quotidien.
Sciatalgie mécaniques gravidiques
Les sciatalgies mécaniques gravidiques correspondent à des douleurs irradiant du bas du dos vers la fesse et parfois le long de la cuisse, survenant pendant la grossesse. Elles sont le plus souvent liées aux adaptations mécaniques normales de cette période : modification du centre de gravité, augmentation des contraintes sur le bassin, assouplissement ligamentaire et tensions musculaires accrues. Ces changements peuvent irriter les structures lombaires ou pelviennes sans qu’il n’existe de compression nerveuse grave. La douleur peut être accentuée par la marche, la station debout prolongée ou certains mouvements.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée comme un accompagnement, en complément du suivi médical de la grossesse et après vérification de l’absence de contre-indication. La prise en charge est adaptée et respectueuse des spécificités de la femme enceinte. Le travail ostéopathique vise à améliorer la mobilité du bassin et du rachis, à diminuer les tensions musculaires et à favoriser un meilleur confort au quotidien. Des conseils de posture et d’adaptation des gestes peuvent également être proposés pour limiter l’inconfort.
Inconforts posturaux liés à la grossesse
Les inconforts posturaux liés à la grossesse sont fréquents et résultent des adaptations naturelles du corps au fil des mois. La prise de poids, la modification du centre de gravité, l’augmentation de la cambrure lombaire et l’assouplissement des ligaments modifient l’équilibre postural. Ces changements peuvent entraîner des tensions au niveau du dos, du cou, des épaules, du bassin ou des membres inférieurs, ainsi qu’une sensation de fatigue ou de raideur dans les gestes du quotidien. Ces inconforts, bien que bénins, peuvent impacter la qualité de vie.
Douleurs lombaires ou pelviennes persistances après l'accouchement
Les douleurs lombaires ou pelviennes persistantes après l’accouchement sont relativement fréquentes et peuvent apparaître ou se maintenir dans les semaines ou les mois suivant la naissance. Elles sont souvent liées aux adaptations mécaniques de la grossesse, à l’accouchement lui-même, ainsi qu’aux nouvelles contraintes du quotidien, comme le portage du bébé, l’allaitement ou les postures prolongées. La fatigue et la reprise progressive des activités peuvent également influencer l’intensité de ces douleurs.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée comme un accompagnement, en complément du suivi médical et de la rééducation périnéale lorsqu’elle est indiquée. La prise en charge repose sur un examen clinique afin d’identifier les restrictions de mobilité et les déséquilibres mécaniques du bassin et du rachis. Le travail ostéopathique vise à améliorer la mobilité, diminuer les tensions et favoriser une meilleure adaptation aux contraintes du quotidien. Des conseils de posture, de portage et de mouvement peuvent compléter la prise en charge afin d’améliorer le confort et de limiter les récidives.
Nourrissons et enfants
Attention : La prise en charge des bébés en dessous de 6 mois de vie nécessite un certificat de non contre-indication délivré par un médecin ayant examiné votre enfant.
Troubles fonctionnels posturaux
Les troubles fonctionnels posturaux chez les enfants et les nourrissons correspondent à des déséquilibres ou des asymétries de posture sans pathologie neurologique ou orthopédique sous-jacente identifiée. Chez le nourrisson, cela peut se manifester par des préférences de position, des attitudes asymétriques, des difficultés à tourner la tête d’un côté ou une gêne dans certaines positions. Chez l’enfant, ces troubles peuvent s’exprimer par des déséquilibres posturaux, des raideurs, des douleurs musculo-squelettiques bénignes ou une fatigabilité lors des activités quotidiennes. La croissance, l’apprentissage moteur, les positions prolongées ou certaines habitudes peuvent influencer ces adaptations.
Coliques du nourrisson
Les coliques du nourrisson correspondent à des pleurs fréquents et prolongés chez un bébé par ailleurs en bonne santé, le plus souvent au cours des premiers mois de vie. Elles s’accompagnent parfois de ballonnements, de gaz ou d’une agitation, et surviennent généralement en fin de journée. Les causes exactes des coliques ne sont pas clairement établies et semblent multifactorielle : immaturité du système digestif, adaptation au milieu extérieur, rythmes de sommeil ou facteurs environnementaux. Bien que bénignes, les coliques peuvent être sources d’inquiétude et de fatigue pour les parents.
Régurgitation fonctionnelles
Les régurgitations fonctionnelles du nourrisson sont fréquentes au cours des premiers mois de vie. Elles correspondent à des remontées de lait après les repas, sans pathologie digestive sous-jacente et chez un bébé en bonne santé, qui grandit normalement. Ces régurgitations sont liées à l’immaturité du système digestif, à la position allongée prolongée, ou encore à la prise alimentaire. Elles sont le plus souvent bénignes et tendent à diminuer spontanément avec la maturation digestive et l’acquisition de la position assise.
Dans ce contexte, l’ostéopathie peut être envisagée comme un accompagnement, en complément du suivi pédiatrique. Les preuves scientifiques restent limitées et ne permettent pas d’affirmer une efficacité certaine. La prise en charge ostéopathique, lorsqu’elle est proposée, est douce, adaptée au nourrisson et précédée d’un examen clinique rigoureux afin d’exclure toute cause médicale.
Inconforts mécaniques bénins liés à la croissance
Les inconforts mécaniques bénins liés à la croissance correspondent à des douleurs ou des gênes musculo-squelettiques pouvant apparaître chez l’enfant ou l’adolescent au cours des phases de croissance. Ils touchent fréquemment les membres inférieurs, le dos ou le cou et peuvent se manifester par des douleurs diffuses, des raideurs ou une fatigue lors des activités quotidiennes ou sportives. Ces inconforts sont souvent liés aux adaptations du corps à la croissance rapide, aux changements de posture, à l’activité physique ou à certaines contraintes répétées. Ils sont le plus souvent transitoires et sans gravité.
Sport et activité physique
Je suis diplomé en premiers secours et urgence en milieux sportifs et suis qualifié pour intervenir en bords de terrain pour prendre en charge les blessures : je peux donc évidemment vous aider au cabinet et vous conseiller sur les protocoles à suivre correspondant à la typologie de votre blessure.
Contracture, élongation, déchirures musculaires
Les contractures, élongations et déchirures musculaires correspondent à des atteintes des muscles survenant le plus souvent à la suite d’un effort inhabituel, d’un geste brusque, d’un surmenage ou d’un manque d’échauffement. La contracture se manifeste par une tension musculaire douloureuse et persistante, tandis que l’élongation correspond à un étirement excessif du muscle. La déchirure musculaire, plus sévère, implique une lésion des fibres musculaires et nécessite impérativement un avis médical. Ces troubles peuvent entraîner une douleur localisée, une raideur, une limitation des mouvements et une gêne fonctionnelle au quotidien ou lors de la pratique sportive.
Traumatismes articulaires et ligamentaires
Les traumatismes articulaires et ligamentaires regroupent des atteintes survenant à la suite d’un choc, d’une chute, d’un faux mouvement ou d’un traumatisme sportif. Ils peuvent concerner différentes articulations comme la cheville, le genou, l’épaule ou le poignet, et incluent notamment les entorses, les contusions ou les instabilités ligamentaires. Ces traumatismes se manifestent par des douleurs, un gonflement, une limitation de mouvement et parfois une sensation d’instabilité. Un avis médical est indispensable afin d’établir un diagnostic précis et d’exclure une fracture ou une lésion nécessitant une prise en charge spécifique.
Conseils récupération / Adaptation à la pratique sportive
La récupération et l’adaptation à la pratique sportive jouent un rôle essentiel dans la prévention des blessures et le maintien de la performance. Un entraînement mal adapté, un manque de récupération, une augmentation trop rapide des charges ou des gestes répétitifs peuvent entraîner des douleurs musculaires, articulaires ou une fatigue persistante. Chaque sportif, amateur ou confirmé, présente des contraintes spécifiques liées à son activité, à son niveau et à son rythme d’entraînement.
Prévention secondaire des blessures
La prévention secondaire des blessures vise à limiter le risque de récidive après un épisode douloureux ou une blessure déjà survenue. Après une entorse, une douleur musculaire, articulaire ou un traumatisme, certaines adaptations du corps peuvent persister : perte de mobilité, tensions compensatoires, déséquilibres posturaux ou appréhension du mouvement. Ces éléments peuvent favoriser la réapparition de douleurs ou de nouvelles blessures, notamment lors de la reprise d’une activité sportive ou professionnelle.